Dimanche 23 mars 2008 à 16:33

Si l'on excepte l'article précédent, il y a un bail que je n'ai pas écrit. J'ai eu le temps de faire toutes sortes de choses, y compris des conneries. Passer mon bac blanc sans l'avoir révisé. Mal interpréter certains signes. Sortir par erreur, et pendant quelques heures, avec un ami. Qui est réellement un ami. Me faire du souci pour lui. Aller au théâtre. Introduire Ombe au “bal de promo” du lycée Joffre.

Oui, parfaitement : nous avons eu un “bal de promo”. Au Point Zéro. Avec tenue de gala obligatoire, élection du plus beau couple de la soirée et tout et tout. Ça me fait bien rire comme principe, mais l'essentiel étant de s'amuser, on avait prévu d'y aller tous ensemble : les cinq débiles de notre classe. Finalement, dans la bande initiale, seul Coin-Coin est venu, et Boucles d'Or a revendu sa place à Ombe qui nous a donc accompagnés. J'ai acheté des talons : si, si. Et putain ce que c'est pas pratique. Ce sont de petites cages pour les pieds. Le monde est drôle vu de là-haut. Ce qui est drôle aussi, dans ces soirées-là, c'est que vous semblez avoir plus d'amis que d'habitude : certaines personnes qui m'adressent à peine la parole au lycée sont venues me saluer d'un air étrangement chaleureux. Sur les tables, il y avait des œufs de Pâques au praliné, mes préférés. Aucun rapport. J'ai dansé un peu sur la scène, en haut, même si la musique était un peu naze (je n'aime pas beaucoup la techno) et que les flashs qu'ils vous foutent dans la figure font mal aux yeux. En bas, la musique était plus généraliste : l'ambiance était meilleure. Dommage que j'aie eu sacrément mal aux pieds, au bout d'un moment. J'ai retiré mes cages portatives et j'ai dansé pieds nus sur une espèce de rebord, jusqu'à ce qu'il soit temps d'y aller si Ombe et moi voulions attraper le dernier tramway. Nous nous sommes changées chez Coin-Coin qui habite heureusement à deux pas. Ah ! Si vous saviez ! Le bonheur que j'ai eu à retrouver mes baskets...

Je relis ce que je viens d'écrire : c'est une suite de remarques incohérentes, sans intérêt et exprimées sans élégance. Tant pis.

Dimanche 16 mars 2008 à 21:06

J'écrivais depuis trois heures quand une fausse manip' m'a tout fait perdre.

Je vais me pendre.

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